Pas de problème. Nous pouvons vous ouvrir un « sous-domaine » sur l’un de nos domaines. Votre site répondra donc à une adresse du type http://<mon sous domaine>.agora.eu.org/. Et ce domaine pourra vous servir pour tous les services (web, courriel, et autres).

Pour acheter un domaine (ben oui, ça s’achète), il faut faire appel à ce qu’on appelle un registrar, c’est-à-dire une firme qui dispose du droit d’enregistrer des nouveaux domaines (et de faire un certain nombre d’autres opérations dessus) dans les registres des Top Level Domains ou TLD (.org, .com, .net, .be, .info,...).

Comme registrar (pour acheter un nom de domaine, donc), nous vous recommandons chaudement Gandi pour les principaux TLD payants .org, .net, .com, .be, .info,...).

On peut aussi signaler l’existence du registre libre .eu.org qui vous permet d’accéder à un « vrai » nom de domaine pour rien du tout.

Pour ce faire, il vous faut indiquer à votre registrar sur quels serveurs de noms (name servers) votre domaine doit pointer.

Les serveurs de noms sont les machines qui permettent aux requêtes dirigées vers votre domaine d’être acheminés vers l’ordinateur qui pourra y répondre (en l’occurence sur serveur agora).

Chez Gandi, l’interface ressemble à ceci :

Comme serveur de noms primaire, mettez simplement agora.eu.org (adresse IP : 91.121.11.116) et utilisez le service de serveur de noms secondaire que votre registrar vous propose (en l’occurence ns6.gandi.net).

Il vous faudra attendre de quelques minutes à quelques jours avant que l’information du nouvel emplacement de votre domaine ne se soit répandue partout dans l’Internet.

On trouve sur le web un certain nombre de prestataires qui offrent gratuitement ce qu’ils appellent abusivement des « noms de domaines » et qui sont en fait de simples redirections http. Le plus connu de ces services est Ulimit, qui propose notamment des redirections sous le domaine be.tf.

Nous vous déconseillons fortement d’utiliser ces services, pour plusieurs raisons :

• Tout d’abord, les conditions du service sont en général très précaires : vous n’avez aucun droit de propriété sur l’adresse de votre site web, le service peut être interrompu à tout moment,... Vous vous rendez donc dépendant d’un prestataire sur lequel vous ne pouvez nullement compter (et quand vous aurez imprimé affiches, flyers, cartes de visites,... avec l’adresse de votre site ou quand des centaines de personnes auront noté cette adresse dans leurs liens favoris, il sera difficile d’en changer).

• La publicité, si elle ne se fait généralement pas voir dans les premières semaines d’utilisation, arrive généralement assez vite, souvent sous la forme de popups du plus mauvais effet.

• Ensuite, ce type de service utilise régulièrement des frames (fenêtes internes à une page web) pour afficher leur page web, ce qui pose des problèmes à certains navigateurs et rend donc votre site moins accessible.

• Enfin, utiliser une telle redirection ajoute une étape dans la chaîne qui amène l’information depuis l’endroit où elle se trouve jusqu’à l’écran d’un internaute, ce qui la ralentit et ce qui la fragilise.

Bref, nous vous suggérons fortement d’utiliser l’adresse « réelle » de votre site.

Mon site est-il accessible à http:// ou à http://www. ? Réponse : les deux.

En effet, l’utilisation de ce préfixe — qui servait initialement à distinguer le pages appartenant au réseau mondial (« World Wide Web ») des autres — n’a plus, avec la généralisation du web, vraiment de signification et son usage est d’ailleurs en voie de disparition.

Notre serveur est donc configuré pour répondre similairement à une requête HTTP effectuée avec ou sans le « www ».